Tout en poursuivant dans la même lignée de mélodies, d’écriture de chansons et d’imposante confiance en soi, le nouvel album de Noel Gallagher’s High Flying Birds, Who Built The Moon? dénote un changement de parcours pour le légendaire auteur-compositeur-interprète à la suite d’une stimulante collaboration de deux ans avec le renommé réalisateur, DJ et compositeur David Holmes.
Lancé le vendredi 24 novembre 2017 sur étiquette Sour Mash, le très attendu successeur du disque certifié platine Chasing Yesterday (2015) sera rapidement suivi d’une transposition scénique, Gallagher et son groupe annonçant dès maintenant une tournée en 2018.
Les spectacles commenceront en février 2018 en Amérique du Nord, puis la tournée se poursuivra au Royaume-Uni en avril.
Il y aura une prévente pour les fans incluant des forfaits pour une expérience enrichie dès le mercredi 27 septembre à 10 h (heure de l’Est). Vous pouvez avoir accès à la prévente, incluant les forfaits pour une expérience enrichie, en vous inscrivant ici : https://nghfb.lnk.to/signup avant mardi à minuit (heure de l’Est).
Faisant éclater les bulles de perception, dynamitant les murs entre le passé et le présent, et dressant un portrait audacieux de l’artiste en tant qu’homme libre, Who Built The Moon? rassemble des chanteurs et des musiciens invités de partout à travers le monde pour donner vie à 11 pièces finement positionnées entre l’expérimentation et un jukebox d’influences intemporelles. Se rencontrant pour travailler à Belfast et à Londres, Gallagher et Holmes ont puisé dans la pop psychédélique française autant que dans la musique électro classique, le soul, le rock, le disco et la musique dance dans le cadre de cette aventure cultivée d’enregistrement sonore.
Si les pièces avec de l’expérimentation électronique éthérée et des paroles en français déclenchent des rumeurs à propos du caractère imprévisible de Gallagher, les pièces instrumentales mélancoliques inspirées par les trames sonores de téléséries européennes ne font que les confirmer. Mettant le feu à ce qui est familier, Gallagher a écrit et composé entièrement en studio pour la première fois, plongeant dans des conditions de laboratoire afin d’entreprendre une aventure laissant une grande place au collage avec Holmes, délaissant temporairement la solitude délibérée et la six cordes. La porte des studios est demeurée ouverte pour Paul Weller (orgue sur Holy Mountain) et Johnny Marr (guitare et harmonica sur If Love Is The Law) afin qu’ils puissent non seulement être témoins, mais également laisser leur marque sur ce moment charnière de la carrière s’étendant sur dix albums studio de Gallagher.
David Holmes, réalisateur de Who Built The Moon? a dit : « Les gens vont être surpris. Je crois que les gens aiment Noel et qu’ils souhaitent ardemment qu’il lance un gros disque dynamique et up-tempo — une grande partie de la musique de Noel est habituellement plutôt mid-tempo. Cet album-ci est très amusant. »
Comment Gallagher réagissait-il à des directives provenant de la console comme : « Arrête de “jouer” de la guitare! » et « Joue-moi un solo de guitare sur lequel on peut danser! »? Confiant que l’homme le mettant au défi avait une vision à la hauteur de son ambition, il est entré dans le même espace créatif. The Man Who Built The Mooncristallise une vision extérieure de cette collaboration, avec amplement de riche orchestration et une impression de drame imminent. C’est le son d’un auteur-compositeur expérimenté soutenu par un complice qui recherche tout aussi méticuleusement la perfection, comme le révèle Gallagher :
« Nous avons pris un riff de claviers que nous aimions sur une piste non utilisée, et nous avons ajouté des accords. Un an plus tard, nous avions un début de chanson et lorsque nous arrivions au refrain, David me demandait constamment d’en écrire un nouveau… encore et encore et encore. J’étais prêt à l’étrangler. Celui que vous entendez est la huitième tentative, et vous savez quoi? Ce qui est agaçant, c’est qu’il avait raison. »
Mettant le feu aux poudres, Fort Knox inclut pratiquement aucune note chantée par Gallagher, qui s’amuse plutôt avec des incantations euphoriques, tandis que It’s A Beautiful World pétille avec ses sonorités électroniques progressives et ambiantes. Sur Black & White Sunshine, on retrouve l’ADN de la pop psychédélique des années 1960, alors que Holy Mountain incorpore un échantillonnage obscur à un joyeux mur de son. Fidèlement à la patiente collaboration entre Holmes et lui, Gallagher raconte à propos de cette pièce :
« David m’a joué l’échantillonnage, puis j’ai trouvé les accords et nous avons enregistré un démo de quelques minutes, avec lequel nous sommes partis en tournée, où nous avons continué de jouer avec. Lorsque c’est devenu une chanson, de retour à Belfast, c’était tellement joyeux, il fallait que je lui rende justice. Qu’est-ce qui est plus joyeux qu’être en amour? Alors j’ai écrit une chanson d’amour et c’est une des meilleures choses que j’ai faites de toute ma carrière. »
Les dates de la tournée nord-américaine Who Built The Moon? 2018 de Noel Gallagher’s High Flying Birds sont les suivantes :
February 9th, 2018 Detroit, MI, The Cathedral at Masonic Temple
February 10th, 2018 Columbus, OH, Express Live!
February 12th, 2018 Washington, DC, Anthem
February 13th, 2018 Philadelphia, PA, Merriam Theater
February 15th, 2018 New York, NY, Radio City Music Hall
February 17th, 2018 Boston, MA, Opera House
18 février 2018 Montréal, QC, Place des Arts / Salle Wilfrid-Pelletier
February 20th, 2018 Toronto, ON, Sony Centre for the Performing Arts
February 23rd, 2018 Cleveland, OH, Goodyear Theater
February 24th, 2018 Chicago, IL, Chicago Theatre
February 25th, 2018 Indianapolis, IN, Murat Theatre
February 27th, 2018 Nashville, TN, Ryman Auditorium
February 28th, 2018 Atlanta, GA, The Tabernacle
March 2nd, 2018 New Orleans, LA Orpheum Theatre
March 3rd, 2018 Houston, TX, House of Blues
March 5th, 2018 Austin, TX, Moody Theater At ACL Live
March 6th, 2018 Dallas, TX, Majestic Theater
March 9th, 2018 Las Vegas, NV, The Chelsea at The Cosmopolitan
March 10th, 2018 Oakland, CA, Fox Theater
March 12th, 2018 Los Angeles, CA, The Orpheum
Des pièces instrumentales, des trames sonores imaginaires et du collage expérimental tracent une voie stimulante et déroutante pour WHO BUILT THE MOON?, le très attendu (et bientôt suivi d’une TOURNÉE) troisième album de Noel Gallagher’s High Flying Birds.
Bande-annonce de l’album : https://NGHFB.lnk.to/WBTMtrailer
Noel Gallagher’s High Flying Birds : Who Built The Moon?
Formats : CD, CD Deluxe, vinyle et numérique
Date de sortie : Vendredi 24 novembre 2017
Étiquette de disques : Sour Mash Records/ Caroline Records
Lien de précommande : https://NGHFB.lnk.to/WBTM
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Who Built The Moon? de Noel Gallagher’s High Flying Birds – Liste des chansons :
1. Fort Knox
2. Holy Mountain
3. Keep On Reaching
4. It’s A Beautiful World
5. She Taught Me How To Fly
6. Be Careful What You Wish For
7. Black & White Sunshine
8. Interlude (Wednesday Part 1)
9. If Love Is The Law
10. The Man Who Built The Moon
11. End Credits (Wednesday Part 2)
Chanson bonus :
Dead In The Water (« live » aux studios RTÉ 2FM, Dublin)
Générique de l’album :
Écrit et composé par Noel Gallagher (Dead Leg Music/Sony/ATV Music Publishing Ltd).
Réalisé par David Holmes.
Mixé et enregistré par Emre Ramazanoglu.
Ingénieur de son additionnel : Tristin Norwell.
Toutes les pistes de voix principales ont été enregistrées par Paul « Strangeboy » Stacey aux studios Strangeways, à Londres.
Masterisé par John Davis au Metropolis, à Londres.
Enregistré aux studios Drama, à Belfast, ainsi qu’à The Pool et Hoxa HQ, à Londres.