Le 16 novembre prochain, l’humoriste Jérémy Ferrari sera de retour à Montréal pour présenter son deuxième spectacle solo. Après le succès
incontesté remporté lors de sa visite en mai dernier, l’humoriste français revient nous voir avec son one-man show Vends 2 pièces à Beyrouth à L’Olympia. Toujours teinté par la provocation, son propos naviguera dans le registre de l’humour noir, au plus grand plaisir du public qui en redemande!
Un humoriste audacieux qui aborde les sujets sensibles sans gants blancs
C’est d’abord en 2010, dans Onn’demande qu’à en rire présenté par Laurent Ruquier, qu’on découvre Jérémy Ferrari. Les 80 sketches auxquels il prend part consolident rapidement sa popularité et son talent. Désormais reconnu pour son humour résolument provocateur, il aborde dans son plus récent spectacle la thématique de la guerre, qu’il qualifie de « chouette », et qui l’a poussé à se poser de grandes questions auxquelles il répondra avec humour. Sommes-nous vraiment protégés par les policiers
en patins à roues alignées? Daesh est-elle en réalité une start-up en pleine
expansion?
Les entreprises ayant fait fortune grâce au régime nazi doivent-elles culpabiliser?
Peut-on œuvrer en humanitaire et avoir une terrasse en teck?
Sa représentation à guichets fermés à L’Olympia de Montréal le printemps dernier confirme l’intérêt du public envers cet humoriste singulier qui foule les planches avec Vends 2 pièces à Beyrouth depuis maintenant deux ans et demi. Dans son précédent spectacle HallelujahBordel, Ferrari abordait le sujet de la religion et des textes sacrés de façon provocante, voire choquante, mais toujours dans le style totalement assumé qui lui colle à la peau. Ce spectacle lui a d’ailleurs permis de remplir
ses salles pendant trois ans et s’est conclu par une tournée des Zéniths.