À l’occasion du concours L’Étoile montante Ford qui se tenait le dimanche 7 mai, l’artiste acadien s’est présenté à la salle L’Astral, situé au quartier des Spectacles à Montréal, pour chanter deux de ses compositions. Parmi les 30 auteurs-compositeurs-interprètes sélectionnés au préalable, Laurie LeBlanc était le seul artiste du Nouveau-Brunswick à auditionner devant les juges.
Les trois finalistes qui auront la chance de performer sur la scène Ford aux FrancoFolies de Montréal le 16 juin prochain seront divulgués lors de la conférence de presse des FrancoFolies le 16 mai prochain.
Dans un même élan, le mercredi 10 mai, l’artiste country francophone assistait à la conférence de presse de Culture country au Casino de Montréal pour le dévoilement des nominations au prochain Gala country francophone du Canada. C’est durant son entrevue en direct avec Émilie Perreault, chroniqueuse culturelle de l’émission Puisqu’il faut se lever au 98.5 fm, que Laurie apprit ses deux nominations – Spectacle de l’année “20” et Interprète masculin de l’année. Le public est invité à voter en raison d’une fois par jour jusqu’au 30 septembre sur le site de Culture country. https://culturecountry.com/galacountry_public.php
Laurie LeBlanc, qui a connu une année exceptionnelle en 2016, a toujours le vent dans les voiles. Au mois de mars, il apprenait que sa chanson Moi-itou mojito – l’extrait francophone le plus téléchargé sur iTunes Canada du 20 au 24 avril dernier – a été choisi « meilleure chanson country » pour le mois de mars par « The Akademia Music Awards » localisé à Los Angeles, Californie.
En plus de sa tournée 20 au Québec en avril (Coaticook – Montréal – L’Avenir), Laurie a fait partie du tournage de la série documentaire Vague d’Acadie animé par Joseph Edgar et réalisé par Phil Comeau. Malgré son année chargée (voir la liste des spectacles), Laurie enregistrera son 6e album – depuis 2010 – au studio La Classe de Memramcook. On pourra entendre un premier extrait « Country Reggae » le 06-06.
Photo: Laurie Leblanc et MC Gilles – Crédit: Frank Therrien